Le traitement du syndrome du côlon irritable par inhibiteurs de la pompe à protons, ou IPP, a été comparé dans une étude avec un placebo. Il s’agit d’une molécule connue depuis longtemps dans ce traitement. Ce traitement a été étudié avec de l’oméprazole mais il a été associé à des effets secondaires et une efficacité inférieure à celle des IPP. Les IPP sont donc utilisés en première intention.
Syndrome du côlon irritable : les IPP en première intention
Dans une étude de 2012, un traitement par IPP a été comparé à un traitement par placebo. Les chercheurs ont comparé 40 patients présentant un SCI et traités par IPP et 50 patients traités par placebo. Les patients traités par IPP étaient légèrement moins nombreux que ceux traités par placebo mais ils ont tous bénéficié de moins d’effets secondaires et de la même efficacité que les patients traités par IPP.
Les patients traités par IPP avaient des douleurs abdominales, des ballonnements, des nausées et des flatulences au bout de 6 à 8 semaines. Les douleurs abdominales étaient moins fréquentes chez les patients traités par IPP. Les patients traités par IPP présentaient des scores plus élevés à une échelle de symptômes du SCI, des scores plus élevés à une échelle de qualité de vie et une réduction de 50% de la constipation. La douleur et les ballonnements étaient moins fréquents chez les patients traités par IPP. Les patients traités par IPP ne présentaient pas plus d’effets secondaires que ceux traités par placebo.
Des effets secondaires similaires ont été observés chez les patients présentant des symptômes du SCI après 6 à 8 semaines. Une réduction du score à une échelle de qualité de vie et une diminution de la constipation ont été observées chez les patients présentant des symptômes du SCI après 6 à 8 semaines.
Les IPP ont également été comparés avec du charbon activé, un charbon de bois ordinaire et des médicaments qui ne sont pas utilisés pour traiter les symptômes du SCI. Il a été montré que le traitement par IPP est le traitement le plus efficace pour le SCI avec une différence d’efficacité d’au moins 20% par rapport à un placebo ou au traitement de charbon activé.
Les effets secondaires de ces deux traitements se sont limités à des nausées et à des troubles du sommeil chez les patients traités par IPP. Aucun effet indésirable n’a été observé chez les patients traités par IPP et un effet indésirable, un syndrome pseudo-grippal, a été rapporté chez les patients traités par IPP. La réduction du score à une échelle de qualité de vie et de constipation était plus importante avec l’IPP que le charbon actif et que le placebo.
L’étude a été menée sur 208 patients présentant un SCI. 25 patients étaient traités par IPP et 24 patients étaient traités par placebo. La réduction de la douleur abdominale et des ballonnements était significativement plus importante chez les patients traités par IPP que chez les patients traités par placebo. Les patients traités par IPP ont également présenté des effets secondaires significativement moins fréquents que les patients traités par placebo.
Dans cette étude, 31% des patients traités par IPP avaient des effets secondaires qui étaient les plus fréquents chez les patients traités par placebo. Parmi les 31 patients traités par IPP, 14 présentaient des effets secondaires qui étaient plus fréquents chez les patients traités par placebo.
Cependant, lorsque l’étude a été menée sur un plus petit nombre de patients, 56% des patients traités par placebo présentaient des effets secondaires et 36% des patients traités par IPP présentaient des effets secondaires qui étaient plus fréquents chez les patients traités par placebo. L’efficacité des IPP est meilleure que celle du placebo.
Les études ont démontré que les IPP sont plus efficaces pour le traitement du SCI que le charbon actif. Les IPP sont utilisés depuis longtemps pour le traitement du SCI. Les IPP ont été comparés avec du charbon actif, un charbon de bois ordinaire et des médicaments qui ne sont pas utilisés pour traiter le SCI. Il a été montré que le traitement par IPP est le traitement le plus efficace pour le SCI avec une différence d’efficacité d’au moins 20% par rapport à un placebo ou au traitement de charbon actif. Les effets secondaires de ces deux traitements se sont limités à des nausées et à des troubles du sommeil chez les patients traités par IPP et que pour les patients traités par placebo. Aucun effet indésirable n’a été observé chez les patients traités par IPP et un effet indésirable, un syndrome pseudo-grippal, a été rapporté chez les patients traités par placebo.
Cette étude n’a pas inclus de patients présentant des symptômes du SCI après 6 à 8 semaines.
Après 8 semaines, les symptômes du SCI ont été observés chez 49 patients traités par IPP. La douleur abdominale et les ballonnements étaient moins fréquents chez les patients traités par IPP. Les patients traités par IPP présentaient un score de qualité de vie plus élevé, une réduction des symptômes du SCI et une réduction des nausées et des vomissements.
Les effets secondaires de ces deux traitements se sont limités à des nausées et à des troubles du sommeil chez les patients traités par placebo. Aucun effet indésirable n’a été observé chez les patients traités par placebo et un effet indésirable, un syndrome pseudo-grippal, a été rapporté chez les patients traités par placebo.
Les IPP ne sont pas utilisés pour traiter les symptômes du SCI après 8 semaines.
Les effets secondaires des IPP sont similaires à ceux observés chez les patients présentant des symptômes du SCI après 6 à 8 semaines. Une réduction du score à une échelle de qualité de vie et une réduction de la constipation étaient plus importantes avec l’IPP que le placebo et que le charbon actif et qu’un effet indésirable, un syndrome pseudo-grippal, a été rapporté chez les patients traités par placebo.
Les patients traités par IPP présentaient également un score de qualité de vie plus élevé que les patients traités par placebo et par charbon actif.
Les effets secondaires des IPP se sont limités à des nausées et à des troubles du sommeil chez les patients traités par placebo et que pour les patients traités par placebo.
Qu'est-ce que Clomid et quand doit-il être utilisé?
Clomid est indiqué dans le traitement des troubles de l'ovulation. Il est efficace et sûr chez les femmes atteintes d'infertilité ou de troubles du cycle de l'ovulation. Il peut également être utilisé en cas de dysfonctionnements gonadiques masculins.
se présente sous la forme d'une solution injectable à usage unique, qui doit être administrée par voie intramusculaire dans la cuisse.
Ce médicament est contre-indiqué en cas d'allaitement.
Les femmes enceintes ou qui pourraient tomber enceintes ne doivent pas prendre de Clomid.
La prescription initiale a lieu dans un service hospitalier spécialisé en gynécologie et obstétrique. Le médecin qui est en charge de la prescription doit être agréé en tant que spécialiste en gynécologie.
Sans objet
La prescription doit se faire par un médecin spécialiste en gynécologie.
Chez les femmes ménopausées atteintes d'un cancer du sein ou d'un cancer gynécologique précoce, la dose initiale recommandée est de 50 mg/jour.
Clomid est contre-indiqué chez les femmes souffrant de migraines ou d'autres troubles neurologiques ou psychiatriques ou chez les femmes dont la fonction hépatique est réduite, ainsi que chez les femmes présentant des antécédents de thrombocytopénie ou de thrombocytopénie sévère (trouble sanguin).
Clomid doit être administré uniquement sous la supervision d'un spécialiste.
La posologie est habituellement administrée pour la première fois en une seule injection. Elle peut être répétée tous les 14 jours, mais doit être augmentée progressivement à un maximum de 150 mg par jour.
Après la première dose, il peut être nécessaire de vérifier la dose exacte de Clomid que le patient a reçue et de la modifier si nécessaire. La dose maximale quotidienne est de 150 mg (50 mg deux fois par jour).
Les symptômes d'un surdosage incluent nausées, vomissements, tremblements, faiblesse, anxiété, diarrhée, douleurs abdominales et hématome. Il est important de surveiller la fonction hépatique.
Une surveillance attentive des symptômes doit être mise en œuvre en cas d'administration à plus de 300 mg/jour.
Dosage
Une étude a montré que la stimulation avec une sonde électrorétinale (ERP) était efficace pour stimuler la production de GnRH en bloquant son action sur les cellules neuronales dans l'hypothalamus des rats mâles. Dans cette étude, l'ERP a stimulé la sécrétion de GnRH chez les rats en augmentant l'expression du gène de la GnRH dans l'hypothalamus.
- Stimulation par la voie ERG de la sécrétion de GnRH et d'ACTH dans des rats mâles avec une sonde électrorétinale chez le rat (64 rats)
- Stimulation par la voie ERG de la sécrétion de GnRH et d'ACTH chez des rats mâles à l'aide de microstimulateurs à cathode (39 mâles)
Pour plus d'information sur les techniques et la stimulation utilisées dans cette étude, voir les études 64 et 39.
Efficacité de la stimulation par l'ERG pour la sécrétion de GnRH et d'ACTH chez les rats
Les rats femelles (64 rats) ont été utilisés dans une étude réalisée par Christopher Gotthard et al, pour évaluer l'efficacité de la stimulation par l'ERG dans la stimulation de la sécrétion de GnRH et d'ACTH. Les auteurs de cette étude ont conclu que l'ERG stimule la sécrétion de GnRH et d'ACTH chez les rats femelles. Les auteurs ont noté que l'augmentation du taux de GnRH chez les rats femelles est due au développement de l'hypothalamus pour la production de GnRH par les neurones ocytocines.
Les auteurs ont également souligné que la stimulation par l'ERG a été moins efficace que l'utilisation d'un microstimulateur à cathode pour stimuler la sécrétion de GnRH et d'ACTH. Cependant, comme les auteurs de cette étude soulignent, la stimulation par l'ERG a été plus efficace que la stimulation par la voie ERG de la sécrétion de GnRH et d'ACTH.
Les auteurs ont souligné que et al, ont utilisé une technique de stimulation par voie ERG pour la stimulation de la sécrétion de GnRH et d'ACTH chez les rats femelles. Ils ont noté que le taux de GnRH était plus élevé chez les rats femelles traitées avec des microstimulateurs à cathode que chez les rats témoins traités avec des stimulateurs à cathode. Cependant, ils ont noté que le taux de GnRH était significativement plus élevé chez les rats traités avec des stimulateurs à cathode que chez les rats témoins traités avec des stimulateurs à cathode.
Les auteurs de cette étude ont conclu que Les auteurs ont également souligné que
Les auteurs de cette étude ont souligné que